créateur d'histoires et producteur de bidules.
Vous qui entrez ici, gardez espoir... Ça peut servir.
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Bien le bonjour, gentes dames-oiselles et gents dames-oiseaux. C’est dans une période délétère aux débats cathartiques et hautement destructeurs que je rédige cette chronique. Quasiment un an après la dernière me rends-je compte !
De nos jours, tout le monde se sent chaud-bouillant de faire profiter ses condisciples de ses réflexions politiques personnelles, en particulier sur les réseaux sociaux qui ont remplacé, avec pertes et fracas de « p’tits blanc-pêche », les bonnes vieilles discussions de comptoir. Alors avec ma modération et ma retenue aussi connues que légendaires, je ne vais pas me gêner.
Owdi jeunes gentes et vieilles roues !
En attendant le prochain "Nique la Kro !" ou le prochain best-seller - sur les quels je ne travaille pas d'arrache-pied -, voici une information d'importance :
Avec huit collègues et camarades écrivain(e)s, nous montons un collectif d'auteurs indépendants dans les genres de l'imaginaire (Science-Fiction, Fantasy, Fantastique) :
Le collectif a pour doux nom Hydralune (FB).
Les 2 premières sorties de romans auront lieu dès le 26 septembre (lundi prochain, pour ceux qui suivent que dalle). Et le site sera mis en ligne dans ces eaux-là.
Je donnerai d'autres infos plus tard.
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À vous, mes dizaines de myions de lecteurices habitant la charmante ville de Clermont-Ferrand et ses alentours !
Dans le cadre de ma participation à la revue Etherval avec la nouvelle Pour quelques onces de cuir, je serai présent ce week-end aux Aventuriales de Ménétrol ! à Riom.
Viendez nombreuses et nombreux discuter le bout de lard et, bien sûr, me rendre riche à foison... de satisfaction du travail accompli !
L'ichor,
Boudiw,
Des plombes que je n'avions partagé des photographouilles !
Non que je n'en ai réalisées, seulement que j'oubliasse.
Mettons fin aujourd'hui à cette injustice.
Et ainsi, en ces temps où violence et déraison sont foison, je vous offre des fleurs :
Le pouvoir aux fleurs (vol. I)
Z'en faites ce que vous souhaitez : vous les les humez, vous les fumez, vous les brûlez.
Il ne tient qu'à vous.
Mais surtout, enjoyez-vous !
L'ichor
Goud niouze éveuriouane !
Un nouveau texte s'extirpe de ma besace pour goûter au grand air !
Joie et allégresse!
Accueillez Tourment tartare qui sera édité par les éditions Jacques Flament dans un recueil sur le thème "Folies", parmi 120 textes et illustration.
La contrainte en était : Format A4.
La sortie du recueil est prévue pour le 10 septembre 2016.
Enjoyez-vous !
À la fois solennelles et exaspérées, je vous présente mes profondes salutations, mes lecteurices.
Dans cette chronique, je n’ai point vocation à traiter de sujets d’actualité, ou alors par sous-entendus au sein de thématiques plus atemporelles. Mais aujourd’hui, je vais faire défaut à cette habitude. Aujourd’hui, je suis Colère, les aminches ! Je suis Violence parce que je suis Trahison.
Boudiw, je peux vous dire que depuis quelques temps, ça bouillonne dans ma petite caboche. Et ces derniers temps, la réflexion, elle boue à quarante-neuf degrés et trois centigrades. Iup.
Au temps pour la gaudriole. Mais bon, tout le monde a compris que mon humour est tout sauf drôle… Et p’is d’toute façon, c’est ma chronique de moi, alors j’fais c’que j’voulions.
Pêle-mêle, ça va causer loi travail, nuit debout, gardiens de l’ordre, réforme, Juppé, Hollande, casseurs... Vous constaterez que le programme s’avère aussi hétéroclite et désorganisé que les pensées qui se bousculent à l’intérieur de mon cerveau.
Yeïii !
Ma nouvelle Pour quelques onces de cuir (déjà n°12 au Japon (!)) est enfin et officiellement disponible !
Elle se trouve, bien douillette, au sein du numéro huitième d'Etherval, Draconis Lex.
Dont la thématique était trompeusement : "reptiles".
Elle est magistralement illustrée par A4.Putevie.
Je vous invite à aller voir sur le site, et à me rendre riche à foison... de satisfaction du travail accompli... et lu :
La boutique (3 € en numérique, 7 € en papier (numérique offert))
Et j'y suis en belle compagnie.
Au sommaire :
Et en supplément numérique :
Enjoyez-vous ! Lisez ! partagez !
Arnaud
Flamboyantes salutations et gracieuses courbettes, mes bonnes gens et gentes !
Aujourd’hui, nous allons causer de mots. C’est bien les mots, presque magique. Il suffit de les aligner dans le bon ordre, et d’un coup, on crée du sens. On en change l’ordre, et hop, on obtient le sens opposé. Subtils les mots sont.
C’est bien, c’est magique, mais c’est également dangereux. Très dangereux. Car par les mots, on peut influencer. Le bon agencement, la dynamique adéquate et voilà cent milles personnes qui les vocifèrent à gorges déployées comme : « En avant Guingamp ! », « À mort le roi ! » ou « Dehors les estrangers ! ».
L’autre danger, c’est qu’au même titre que les trains, un mot peut en cacher un autre. Leur signification est bien souvent sujette à interprétation, en particulier vis-à-vis de ce que les auditeurs projettent dans ledit mot ou ladite expression.
L’une des formes les plus concrètes de ce pouvoir, c’est la propagande.